
Le Prozac est l’un des antidépresseurs les plus dangereux actuellement sur le marché. Et ce n’est pas moi qui le dit, c’est eux !
Dans sa brochure Le Bon Usage des antidépresseurs chez l’enfant et l’adolescent, dont le titre même me fait froid dans le dos, l’AFSSAP décrit les risques du Prozac (qu’elle conseille quand même).
Tout d’abord, l’augmentation des tendances suicidaires :
« L’utilisation des autres antidépresseurs ISRS et apparentés est déconseillée pour cette classe d’âge dans le traitement de la dépression, en raison du risque de comportement suicidaire (idées suicidaires, tentatives de suicide) et de comportement hostile (agressivité, comportement d’opposition, colère) mis en évidence chez des enfants et adolescents traités par ISRS au cours d’essais cliniques. Le risque de comportement suicidaire et de comportement hostile identifié avec la fluoxétine (Prozac) lors des essais cliniques, n’est pas différent de celui observé avec les autres ISRS. »
Si cela vous paraît un tant soit peu compliqué, je traduis : nos enfants sous antidépresseurs risquent fortement de se suicider ou de devenir violents et dangereux, et c’est la même chose avec le Prozac.
Mais visiblement, cela n’inquiète pas l’AFSSAPS.
Et qu’en est-il du développement sexuel de nos enfants ? Eh bien comme à l’accoutumée, on a fait quelques tests sur des rats… c’est si ressemblant. Et on s’est rendu compte que les jeunes rats drogués au Prozac souffraient d’atteintes testiculaires irréversibles.
Je cite toujours l’AFFSAP :
« Cette demande fait suite aux résultats d’une étude pré-clinique chez le rat juvénile montrant des effets délétères de la fluoxétine sur la croissance, sur la maturation sexuelle, sur la fonction sexuelle et sur les organes sexuels, en particulier des atteintes testiculaires irréversibles. »
En bref, si votre enfant survit au suicide, il n’aura pas de développement sexuel normal, sera impuissant, voire castré.
Et la solution : demander des études complémentaires pendant qu’on autorise la prescription aux bambins et que l’on place l’enfant sous suivi médical. Eh oui, il ne s’agit plus d’expérimentations sur des rats, mais bien sur nos enfants.
Mais tout de même le contrôle est sévère, puisque seuls les psychiatres auront le droit (théoriquement) de prescrire du Prozac aux enfants. Outre le fait que je préférerais donner mon corps à la science que de prêter mon petit doigt à un psychiatre, il nous faut savoir sur quels critères le psychiatre est enjoint de se baser quant au diagnostic dépressif. Il doit se conformer au manuel appelé le DSM IV.
Et que nous dit le manuel ?
Qu’au moins 5 des 9 symptômes de dépression doivent être présents pendant au moins 2 semaines.
Allez, choisissons 5 symptômes d’après le DSM IV :
1. Humeur irritable ou revendicante. Préoccupations morbides envahissantes – par exemple par des paroles de chansons nihilistes.
2. Perte d’intérêt dans le sport, les jeux vidéo et les activités entre amis.
3. Perte ou gain de poids significatif en absence de régime (ex : modification du poids corporel en mois excédant 5 %) ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours.
4. Regarde la TV excessivement tard dans la nuit. Refus de se lever le matin pour aller à l’école.
5. Comportement d’opposition et/ou négatif.
Vous l’avez compris, il ne fait pas bon faire sa petite crise d’adolescence. Outre la stupidité de demander à un enfant de 8 ans de ne pas prendre de poids (5 % si votre enfant pèse 40 kg, cela fait 2 kg…), chacun des autres symptômes peut décrire tellement d’enfants qu’on se demande quel est le véritable objectif poursuivi par l’AFSSAPS et ses commanditaires : la lutte contre la surpopulation ?
Moi, si j’étais la défenseure des enfants (qui n’est autre que l’ancien directeur de la communication des laboratoires Servier, et qui a ses entrées dans le monde de la pharmacie), je défendrais nos enfants.
Et si le vôtre a des symptômes correspondant à ceux qui sont décrits dans la bible DSM IV, cachez-le, protégez-le des psychiatres, aidez-le à comprendre ce qu’il étudie et assurez-vous qu’il mange de manière équilibrée. Au moins, il restera en vie et aura une chance de vous offrir une vie de grand-mère… ou de grand-père.
un commentaire :
« Excellent article malheureusement criant de vérité que je vais l’étayer par l’expérience suivante. J’ai assisté à une réunion nationale d’un grand labo pharmaceutique produisant calmants, anti-dépresseurs, etc.
Environ 700 personnes (membres de l’entreprise mais aussi médecins indépendants, etc), acheminées par avion, ont séjourné pendant cinq jours dans un pays africain (hotel 5 étoiles) pour la « grande messe ».
Lors de cette réunion, de nombreux slides ont été montré: parts de marché remportées sur les concurrents, découverte et lancement de nouvelles molécules, chiffre d’affaire réalisé, bref tous les résultats de fin d’année … ou presque !
J’attendais avec impatience une statistique qui me semblait MAJEURE:
LE NOMBRE DE PERSONNES SOIGNEES ET SAUVEES !
Car en fait, sous le couvert d’une nomenclature compliquées générant autant de confusion chez le consomateur final que dans les rangs « des experts », un objectifs très clair lui, apparait: MONEY.
Et il est très vrai que si de nouvelles maladies sont inventées de toute pièce par les psych… psychia… psychiatre (tient je viens de chopper le syndrome du bégaiement exitus reactionus involontarus), et bien de nouvelles molécules doivent ABSOLUMENT ETRE DECOUVERTE, si non comment « sauv€r » nos cobayes, pardon, nos patients clients ?
Ma solution:
DEPRIME, STRESS, ANXIETE, PEUR, INSOMNIE, etc ?
FUYER le psyc… psychia…. tiens voilà que ça recommence, le psychiatre !!!!!!!!!!! »
un autre témoignage :
L’expérience que je peux décrire est celle de mon frêre qui s’est vu prescrire des antidepresseurs a 11 ans.
Plusieurs psychiatre n’ont pas hésité a prescrire plusieurs traitement sans tenir compte (et meme en refusant de tenir compte) de traitements déja prescrit par leur confrere. Je ne vous dit pas les mélanges !
Bilan, une adolescence gachée, ses camarades, tres compréhensifs a cet age, le traitaient de zombie ou de trysomique.
Comment il s’en est sorti: En se sevrant tout seul vers 21 ans. Ca lui a prit deux ans et il était obligé de caché cet etat de fait au « médecins » qui le suivaient et l’encourageait sans cesse a revoir les doses a la hausses.
Bref cet annonce va de paire avec la campagne sur la dépression nerveuse:
1) On nous martelle a grand coup de spot audio ou vidéo que la dépression est une vraie maladie (ce que je ne nie pas) et qu’il ne faut pas hésiter a consulter et se « soigner ».
2) On rabaisse gentilement la limite d’age pour prendre des actifs surpuissants afin de devenir accro au plus vite. Soit dit en passant le canabis reste interdit en france, meme a usage thérapeutique. A ce jeux les lobbys du tabac n’ont pas fait mieux et doivent presque jalouser l’industrie pharmaceutique.
Ce qu’on omet de préciser c’est que la dépression n’est pas une maladie mais bien un symptome, d’un mal etre du a une mauvaise passe familiale, a une perte d’emploi ou autre, mais dans la plupart des cas, a un motifs concret et identifiable.
Conclusions 1: ne cherchons pas d’ou vient le mal etre de notre société cela nous amenerait a trop de réflexions n’allant pas dans la direction ou on souhaite nous emmener, faire de nous des consommateurs bien calme, de médicament, série B et musique et aliments prémachés.
Conclusion 2: Boire pour oublier c’est mal. Masquer les symptomes de notre mal etre derriere un voile artificielle c’est mieux, c’est légal, c’est remboursé et c’est a partir de 8 ans.
et
Cela confirme (cf.affaire Vioxx retiré du marché par le fabricant avant même que l’AFFSAPS n’ait bronchée) qu’on ne peut tout simplement pas faire confiance à l’AFFSAPS.